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L’activité d’administration d’OPC peut être divisée en trois fonctions principales : la fonction de teneur de registre, la fonction de calcul de la VNI et de comptabilité et la fonction de communication à la clientèle.
Ces fonctions sont globalement composées, au moins, des tâches suivantes :
Un OPC ou son GFI n’est pas tenu d’exécuter lui-même les fonctions liées à l’activité d’administration d’OPC. Il peut en effet confier à un tiers autorisé établi au Luxembourg (un « prestataire de services ») l’exécution (d’une partie) de ces fonctions en vue de mener ses activités de manière plus efficace.
À des fins de transparence, le nom de l’administrateur d’OPC doit être publié dans le prospectus de l’OPC.
L’OPC lui-même ou son GFI exécute la fonction d’administration d’OPC
Un OPC ou son GFI peut exécuter lui-même, en partie ou en intégralité, les fonctions d’administration d’OPC.
L’administrateur d’OPC doit disposer d’une organisation interne adéquate (y compris un environnement de contrôle adéquat et approprié) et de ressources suffisantes (p.ex. ressources humaines, infrastructure technique et moyens informatiques).
L’activité d’administration d’OPC est soumise à une autorisation préalable de la CSSF conformément à la circulaire CSSF 22/811 (« circulaire UCIA »).
L’administrateur d’OPC peut aussi déléguer certaines tâches critiques ou importantes sous réserve d’une notification préalable à la CSSF.
Conformément au point 7 de la circulaire UCIA, l’administrateur d’OPC doit communiquer à la CSSF, sur une base annuelle, des informations concernant ses activités professionnelles et ses ressources au plus tard dans les cinq mois suivant la fin de son exercice financier. Dans ce cadre, les informations visées au point 7 et détaillées à l’Annexe B de la circulaire UCIA doivent être soumises par l’administrateur d’OPC via le module « UCI Administrator Reporting Tool » (module UCIAR) sur la plateforme eDesk de la CSSF ou via un système S3 basé sur un échange de fichier structuré.
Un prestataire de services exécute la fonction d’administration d’OPC
Un OPC ou son GFI n’est pas tenu d’exécuter lui-même les fonctions liées à l’activité d’administration d’OPC. Il peut en effet confier à un tiers autorisé établi au Luxembourg (un « prestataire de services ») l’exécution (d’une partie) de ces fonctions en vue de mener ses activités de manière plus efficace.
À des fins de transparence, le nom de l’administrateur d’OPC doit être publié dans le prospectus de l’OPC.
L’administrateur d’OPC doit disposer d’une organisation interne adéquate (y compris un environnement de contrôle adéquat et approprié) et de ressources suffisantes (p.ex. ressources humaines, infrastructure technique et moyens informatiques).
Le prestataire de services doit détenir un des agréments suivants :
L’activité d’administration d’OPC est soumise à une autorisation préalable de la CSSF conformément à la circulaire UCIA.
L’administrateur d’OPC peut aussi déléguer certaines tâches critiques ou importantes sous réserve d’une notification préalable à la CSSF.
Conformément au point 7 de la circulaire UCIA, l’administrateur d’OPC doit communiquer à la CSSF, sur une base annuelle, des informations concernant ses activités professionnelles et ses ressources au plus tard dans les cinq mois suivant la fin de son exercice financier. Dans ce cadre, les informations visées au point 7 et détaillées à l’Annexe B de la circulaire UCIA doivent être soumises par l’administrateur d’OPC via le module « UCI Administrator Reporting Tool » (module UCIAR) sur la plateforme eDesk de la CSSF ou via un système S3 basé sur un échange de fichier structuré.